Happy Gangbang Birthday !

1er mai 2024, 20h30. 

Je sors tout juste de la douche. Après avoir passé la journée recouverte des semences que j’ai amassées hier soir, il était temps de passer à la douche ! Je pense que le premier que Monsieur a organisé à la maison était il y a environ un an. N’ayant plus le visage, les cheveux et la poitrine recouverts de sperme, il est temps de conter la soirée de la veille.

Après plusieurs mois à chercher une date idéale pour organiser un gangbang à la maison sans pour autant monopoliser un week-end, le 30 avril semblait idéal. Rentrée du boulot vers 18 heures, je profite du temps que j’ai de libre devant moi pour me reposer avant d’attaquer la cuisine et de me préparer. Maître profite de ces quelques heures pour me demander quelles sont mes attentes de la soirée et si je souhaite savoir quel est le programme. Dans ce genre de cadre, c’est Lui qui gère seul la préparation de la soirée, la sélection des participants et tous les contacts que cela implique. Pour ma part, je n’ai connaissance que d’un seul participant avant son arrivée, puisque N/nous avions parlé de lui avant.

20H, il est temps de filer à la douche, les invités vont commencer à arriver d’ici une demi heure. N., alias le petit jouet, est prévu un peu plus tôt pour aider Maître aux quelques préparations nécessaires. Il sonne à la porte pendant que je finis de me maquiller dans la salle de bains. Mine de rien, je tends l’oreille et j’entends une autre voix que je connais. J’entends N. dire qu’ils se sont croisés sur la route et rire légèrement.Une fois prête, je sors de la salle de bains et salue par un baiser les deux premiers de mes partenaires de jeu de la soirée.

Maître me donne de nouvelles consignes : accueillir chacun de nos invités en ouvrant grand la porte pour qu’ils puissent admirer ma tenue et enlever le vêtement qu’il me désignera en m’exhibant à tout le monde à Son signal. Comment Maître a-t-il choisi de m’habiller ce soir ? Très simple : un ensemble en dentelle blanche, un joli porte-jarretelles blanc qui s’y assorti bien avec bas résilles blancs. Par-dessus, une jupe et un boléro en dentelle blanche, le tout sur mes talons noirs vernis avec le collier “Cum Slut”. La première fois que j’ai ouvert la porte, j’ai fait un “coucou voisins” en me demandant s’ils m’apercevaient puis je les ai complètement oubliés.

Je prépare les quelques trucs à grignoter lorsque j’entends la sonnette. Je me dirige vers la porte, la déverrouille et salue M. Derrière lui se tient un visage inconnu, qui se présente comme P., je l’invite à rentrer avec le même accueil. Une question me vient à l’esprit, est-ce que Maître aurait demandé à tous ces messieurs de venir accompagnés ce soir ? Ça fait deux fois qu’ils arrivent par deux. Ce même événement se répète plusieurs fois dans la soirée, mais avec des gens que je connais cette fois-ci.Ils se sont passés le mot où quoi ? Petite surprise de taille, dans les derniers arrivés, voilà que G. débarque. J’avoue que je n’osais même plus espérer revoir ce joli cul musclé… Je demande à Maître s’il manque du monde. Il fait les comptes des annulations de dernière minute et il semblerait que nous soyons au complet. Après vérification le lendemain, il semblerait qu’un participant n’ait pas prévenu de son absence. 

Maître aime faire preuve de perversion. Il avait programmé ses alarmes dans le téléphone. Les derniers arrivés, Il me fait signe de retirer mon boléro, je m’exécute en me tenant debout devant ces hommes assis dans mon salon en train de me regarder. Je fais la timite “I so shyyyy”. Je ne saurais dire s’ils ont ri davantage que moi à m’entendre prononcer ça. Je fais les comptes. Ils sont 11 à avoir fait le déplacement pour moi ce soir, avec Maître, on monte à 12. Jolie brochette… 

5 minutes après, vient l’heure de faire tomber la jupe. Même principe, on se pose devant tout le monde, on tortille ses fesses et on la jette dans un coin pour qu’elle retrouve le boléro assorti. Le temps défile et le soutien gorge part de la même manière alors que je regarde ces messieurs en faisant mine de vouloir cacher ma poitrine. Ils rient et je les fixe à tour de rôle en rigolant également. Vient l’heure de faire tomber le string, je les regarde de face, le descend pour légèrement dévoiler mon pubis. Puis, je le remonte, me retourne pour leur offrir mon fessier et le fait tomber en écartant légèrement les jambes pour les laisser observer mon intimité.

Depuis le début de ce déshabillage, leurs mains glissent sur mon corps de temps à autre. La température monte, j’ai chaud et pourtant, malgré ma petite tenue, N/nous n’avons même pas monté le chauffage… Les esprits de ces messieurs se chauffent autant que le mien, Maître les sollicite pour remplacer la table du salon par le matelas qui attend adossé au mur. Je n’avais jamais vu autant de mecs au taquet pour poser un matelas au sol et y mettre des draps !

Certains sont chauds, légèrement dénudés. Je m’installe au centre du matelas et retire mes chaussures, on va éviter de les abîmer et de blesser ces jolies gueules qui m’attendent tout de même ! Assise sur mon trône de ce soir, je les regarde faire tomber les tee-shirt, retirer leurs chaussures, les pantalons se descendre et les boxers qui filent tout aussi vite ou un peu plus lentement. J’ai seulement quelques secondes pour apprécier leur faim, taquiner leur timidité et faire le vide dans ma tête. 

Les mains commencent à naviguer sur mon corps presque nu, Maître aime bien que je garde porte jarretelles et bas dans ces cas là. Elles se promènent sur mon corps, des bouches les rejoignent. La première jouissance vient rapidement de notre Y. (ne vous inquiétez pas pour lui, il a une de ces capacités à recommencer, c’est dingue !) sur ma poitrine. Je suce des queues à tour de rôle. Entre le précum et la bave qui s’accumule au fond de ma gorge, je tire parfois la langue en regardant ces messieurs, ne sachant plus déterminer s’ils ont joui ou pas. Je finis à quatre pattes, prise en levrette, une bite dans la bouche, un ou deux dans les mains selon les instants. J’aime ces moment partagés avec ces messieurs, quand ils soulèvent ma tête de leur queue pour me dire de m’occuper de leur pote, putain j’aime cet esprit de partage !

Une autre chose que j’ignorais, c’était le deal que Maître avait passé avec eux. Histoire de bien me souiller et bien me réduire à ma condition de salope, Maître avait demandé à ces messieurs de participer à l’occasion de quelques photos. Me voilà pour la première, tirant la langue entourée de ces sexes durs lustrés énergiquement par leurs propriétaires. Tantôt à genoux face à ces queues, recevant leur semence sur ma poitrine et parfois sur le dos ou à quatre pattes, la bouche remplie de l’une d’entre elles pendant qu’une autre remplit mon intimité. Parfois je bave et reprends difficilement mon souffle et d’autres fois je m’époumone à la limite de réveiller les voisins. Par chance, N/nous n’avons pas de mitoyenneté, ce qui me laisse m’exprimer autant que je le souhaite. 

Les minutes se transforment en heures, certains reviennent au combat plusieurs fois. La seule chose que je peux affirmer, c’est qu’aucune capote n’a été remplie. Toutes leurs substances ont fini sur moi. Après avoir enchaîné ces kilomètres de bite, il est temps de terminer en beauté. Convenu précédemment selon la sécurité nécessaire, N. me prend sans préservatif et déverse son foutre en moi. Je lutte contre la frustration de ne pouvoir le mordre et Maître, amusé de la situation, filme chaque détail. C’est au tour de G. de s’y coller. Je profite de son corps contre le mien pour caresser ses belles fesses musclées tandis qu’il se délecte de pouvoir à son tour me souiller. Sa jouissance arrive et il me remplit comme il se doit. Vient au tour de Maître, qui a immortalisé ce second remplissage, de me remplir à son tour. Il se délecte de me voir ainsi souillée et laisse place à Son excitation. Une fois cette dernière exprimée, Maître fait appel à N/nos autres complices de la soirée. 

L’heure de la douche sonne, langue tirée face à ces membres durs, je ferme les yeux et j’attends qu’ils viennent. Certains arrivent en même temps et les autres ne prennent pas beaucoup de temps à les rejoindre. Me voilà, yeux fermés sur les cuisses, à recevoir leur semence sur le corps. Ils en mettent partout ces pervers ! Visage, cheveux, poitrine y passent. Une fois terminé, je me décontracte. Les abdos relâchés, je m’installe sur le matelas sur les fesses. J’en salue certains en train de se rhabiller, prenant le temps de revenir à moi avant de me lever. De retour sur Terre, non, je n’ai pas le droit à la douche, pas maintenant. Il est temps pour moi de remercier chaleureusement ces hommes de leur participation. Certains qui ne sont pas gênés ont le droit à un baiser avant de partir et d’autres se contentent d’un salut d’un peu plus loin. 

La soirée se termine tranquillement, buvant un verre avec trois des participants de la soirée. Le temps d’une dernière provocation, assise sur le canapé recouverte de ma cape et puis d’un peu de tendresse. Après avoir joué au fucktoy, mis son corps à disposition, en ayant le fond de l’utérus endolori de ces grands coups de bassin, fermer les yeux et profiter d’une caresse sur la tête c’est une bénédiction. 

Merci à vous tous de votre participation 🖤

Et surtout, merci Maître pour cette organisation toujours au top, ces participants triés sur le volet. Je sais à quel point ça peut être énergivore pour Vous 🖤