Cher petit jouet…

18/03/24 – 19h15.
Il serait peut-être temps d’aller laver le peu de foutre qu’il reste de veille sur ma poitrine. Le corps endolori, j’observe les traces de la veille. Quelques bleus sur les genoux, l’impression de revenir d’une grosse session de sport, une douleur inexpliquée au dessus de la clavicule droite, il est temps de rentrer sous la douche. La chaleur me soulage un peu des courbatures. Je me remémore la soirée de la veille.


17 Mars, 19h30
On arrive, comme à notre habitude pour cette soirée mensuelle, faisant en sorte de respecter plus ou moins le thème. Bah ouais, tant qu’à faire, c’est quand même plus drôle de baiser en étant raccord sur un thème, non ? Tenue déjà enfilée, il ne reste que les accessoires à apposer. Ayant pris notre stock pour le partager, équipez-vous messieurs-dames pour notre plus grand plaisir. 😈
J’ai pesté toute la journée, j’ai envie de jouer. Vider ma tête, partager du plaisir plutôt que de bouillir intérieurement en récitant l’emplacements de touches d’un clavier AZERTY dans ma tête pour penser à autre chose.
Et voilà que tu te diriges vers le bar pour dire bonjour et que tu commences déjà à me provoquer à peine arrivé ! Un petit bisou pour dire bonjour et voilà un sourire malicieux qui se dessine ! Peux-tu au moins me laisser commander un verre avant de commencer à me chercher comme ça ? Le temps de cligner des yeux, je t’ai déjà attrapé par la gorge et plaqué au sol dans ma tête. Putain, je ne vais pas mettre longtemps à craquer moi… Un rafraichissement et une cigarette plus tard, me voilà contre toi à commencer à batailler. Voilà qu’on se mord, que je peux griffer ton dos, te regarder dans les yeux et te faire soupirer.
La température monte. Je me félicite intérieurement d’avoir opté pour une robe bustier ce qui me permets de la faire tomber en continuant de te dévorer. Les minutes passent et quelques mains nous rejoignent. L’envie de déchirer tes vêtements se fait ressentir. Ma lingerie tombe. Enfin, pas tout. On abandonne le string et le soutif pour garder bas et porte-jarretelles. Ça donne un côté sexy et ça me permet de continuer de fantasmer sur le fait d’entendre ce nylon se déchirer.
Ça n’arrivera pas ce soir, mais un jour peut-être aurais-je l’occasion de me faire ruiner mes vêtements avant de finir complètement souillée, qui sait !
Nous voilà à même le sol, les genoux sur le carrelage. Tu m’excites à me mettre des baffes, je dévore ton petit corps. Au fond de moi, j’aime t’imaginer frêle alors que je sais que t’es capable de me soulever sans difficulté. Ta tête contre le carrelage, je serre mes doigts contre ta gorge. J’entends tes soupirs et te regardes avec un sourire carnassier. Tu ne prends pas beaucoup de temps pour retourner la situation, chopper un préservatif dans ma jarretière, me prendre à quatre pattes pendant que j’en bouffe un autre et masturbe un troisième. Cet autre qui ne mettra pas longtemps à venir dans ma bouche. Intérieurement, je ris, levant les yeux vers son visage et ouvrant la bouche pour lui montrer son œuvre avant de l’avaler. On change de position, je te fais face et on reprend nos galipettes à deux. Autant en profiter pour faire bosser les abdos et les fessiers nan ?
Après quelques temps à se donner du plaisir mutuellement, nous passons sur le canapé pour préserver notre autre complice qui se remet d’une opération. Il s’allonge sur le canapé et je le prends dans ma bouche pendant que tu bourrines mon intérieur. Je suis en feu ce soir !
Les hommes varient, ils changent de place.
Un suivant vient à son tour déposer son membre dans ma bouche tandis qu’un autre s’installe entre mes cuisses. Je le sens grossir et venir sa jouissance. Il me demande où me l’offrir et je lui tends ma poitrine. On commence à être souillée. Maître m’observe, amusé pendant que nos complices s’enchainent.
Excité, Maître décide de prendre sa place. Quatre m’ont pris, deux autres m’ont offert leur foutre, je rends mon corps à son propriétaire et m’accorde ensuite une pause.
Mine de rien, la jouissance ça creuse.


J’ai perdu le fil du temps.
Quelques complices nous ont quitté, il en reste encore à dévorer. J’aime bien ces instants où j’ai l’impression de jouer la maitresse de cérémonie quand les quelques débutants du soir viennent me voir et m’exprimer leur intérêt. Certains félicitent mes prouesses, d’autres semblent impressionnés. Ça me rend fière quelque part. Fière de pouvoir les utiliser comme bon me semble, en mordiller certains, être plus tendre avec d’autres… Des petits jeunes et d’autres plus vieux, le plaisir de la variété. J’arrive à t’attraper une dernière fois avant de te laisser partir. J’aurais bien aimé profiter de ta jouissance à toi aussi, mais fallait bien partager avec les copines !
Maître y est repassé entre temps aussi.


La soirée se termine, il est temps de rentrer à la maison. Vient le temps de faire les comptes avec Maître, qui me demande « Alors, t’en as eu combien ? » « Je sais pas, j’ai pas compté ! » Je commence alors à me remémorer la soirée… Avec Maître, on est à 13 : 10 qui m’ont prise, 2 que j’ai sucé et qui ont joui sur moi et celui du début dans ma bouche. Un nouveau record ? A vrai dire, j’en sais rien, c’est Maître qui tient les comptes.

Encore une soirée hors du temps. Merci Maître, et merci à ceux qui m’ont offert leurs corps et leurs fluides évidemment ! Envoyez-moi plus de photos de vos dos lacérés, j’adore ça 😈