Huitième jour

Samedi 9 juillet 2022. Une nouvelle journée qui commence tard, avec une sortie plage en milieu d’après midi. N/nous nous installons sur la baie des Cochons pour bronzer. Installée comme la plupart des femmes en plage “classique”, je me pose sur ma serviette les jambes légèrement écartées et arquées. Cela semble suffire pour attirer l’intérêt de ces hommes seuls qui naviguent sur la plage, la bite à la main. C’est drôle en journée, il suffit de bronzer à poil pour se retrouver encerclés d’une cinquantaine de mecs la bite à la main. Cela me fait rire au début mais je déchante rapidement. Certains s’installent beaucoup trop près et une dizaine de personnes, ça reste assez amusant mais quand on arrive à une cinquantaine alors qu’il ne se passe rien, cela devient étouffant.

Maître et moi-même N/nous levons pour aller chercher une glace, le fait de se mettre debout suffit à disperser cette foule en direction d’autres couples. ça fait du bien de respirer un instant ; pour une fois, je souhaitais simplement bronzer même si je n’étais pas fermée à jouer. Pour ce dernier point, je peux maintenant confirmer que l’ambiance ne s’y prêtait pas ; beaucoup trop d’hommes seuls en rut et si peu de joueurs.

Maître me met au défi de me baigner jusqu’aux genoux. La mer est froide en comparaison avec la température ressentie sur la plage, il me faut plusieurs allers-retours dans les vagues pour atteindre l’objectif demandé par Maître. Un n-ième “C’est bon ?” finit par convaincre Maître que j’ai réussi. Pour profiter de cet instant de tranquillité, N/nous nous installons avec N/notre glace commune à proximité du marchand de glaces, plus proche de la mer. N/nous reconnaissons un voisin de N/notre allée de camping à proximité de N/notre nouvel emplacement. Après quelques échanges, N/nous apprenons qu’il est allemand et je regarde Maître discuter avec lui (je n’ai aucune notion d’allemand…). Il N/nous salue et N/nous découvrirons plus tard que nous n’étions pas loin de sa fin de séjour. 

Un coup de fil plus tard et N/nous retrouvons N/nos voisins sur la plage. N/nous échangeons sur nos projets de la soirée et recherchons à poser un rendez-vous à quatre pour pouvoir pratiquer avec Madame sous les yeux de son homme. N/Nous nous séparons pour les laisser rejoindre leur restaurant tandis que N/nous allons traîner au camp en cherchant ce que N/nous allons faire de N/notre soirée.

Maître choisi ma tenue du soir : nuisette coupe kaijira rouge, bas résilles, jarretières élastiques noires, talons noirs et le “petit” bonus : le plug lumineux ! Toujours le petit modèle, je n’ai que peu d’entraînement de ce côté là, ça me suffit donc amplement.

N/nous nous baladons dans le village, certaines s’amusent à suivre la lumière rouge tandis que d’autres ne le remarquent pas.  C’est assez drôle de naviguer entre les “C’est mignon” et les sourires ! N/nous en profitons pour échanger sur les endroits qu’il N/nous reste à faire et nous croisons le jeune homme du camping qui a déjà été N/notre partenaire plus tôt dans la semaine. N/nous nous décidons sur le Tantra et annonçons à N/notre voisin de camping que N/nous y allons. Ce soir sera donc N/notre deuxième soirée au Tantra ! 

La soirée commence sagement comme la dernière fois. N/nous avons pris N/nos précautions concernant N/nos affaires en embarquant le strict minimum dans les poches de Maître. La soirée ne fait que commencer, il y a peu de monde. Un petit tour du propriétaire pour observer qui est présent ce soir.

N/notre voisin de camping et son cousin finissent par N/nous rejoindre pendant que je danse à la barre. Un coucou et un baiser et N/nous discutons un moment. N/nous montons au patio fumer une cigarette et redescendons commander un nouveau verre pour N/nous tandis que ces messieurs rejoignent leur bouteille. Un couple à proximité, composé d’une jolie Thaïlandaise et d’un soixantenaire parlant tous deux anglais séduisent le cousin de N/notre voisin. N/nous les observons discuter un instant et partons rejoindre la backroom comme ils disent au Tantra. C’est marrant cette traduction de “coin calin” !  

N/nous nous enfonçons donc dans la backroom. Quelques joueurs déjà en place mais le coin convoité par Maître est libre ! Il souhaite m’installer sur le lit du fond qui comporte une grande paroi composée d’une vitre en plexi en haut, une porte sur la gauche et des gloryholes sous le plexi.  Je me pose à genoux et observe les hommes qui arrivent progressivement vers N/nous. Plus ou moins de choix, selon les goûts de chacun bien évidemment !  J’aurais aimé que ce petit jeune à la chevelure bouclée qui me faisait des sourires pendant que je dansais se joigne à la partie mais je n’ai pas eu l’occasion de le voir passer. 

Mon premier partenaire n’arrivera pas à la jouissance et passera la main à son ami qui viendra quant à lui, très rapidement dans ma bouche. Pour le coup, j’ai la sensation de m’être fait avoir. Je me redresse sous les instructions de Maître et observe les autres hommes aux alentours. Je finis par en trouver un qui accepte de se joindre à moi pour jouer un moment. Je propose ensuite à deux jeunes amis, la vingtaine, de tout casser. Malheureusement N/nous ne jouerons pas intensément, ces deux jeunes ayant un peu trop abusé de la bouteille. Deuxième sensation de frustration et je me redresse encore. Un autre jeune, un peu moins que les précédents, accepte de jouer avec moi. Il ouvre sa chemise et me demande si je ne regrette pas mon choix. Je suis plutôt satisfaite et lui réponds que “pas du tout”. N/nous partageons N/notre plaisir comme il se doit, oral, masturbation et pénétration. Monsieur me remercie et N/nous recherchons un nouveau partenaire, j’en observe un qui sourit, annonçant à la foule que les personnes trop alcoolisées ne m’intéressent pas et que je devrais leur faire faire un éthylotest. Celui-ci sourit davantage et N/nous lui proposons de jouer avec moi. Comme pour le précédent, nous partageons un bon moment de plaisir, pas de regret ! Il m’annonce qu’il y a son pote derrière et qu’ils aimeraient, pour le fun, se taper tous les deux la même femme. je lui demande s’il a bu et sa réponse me satisfait. J’accepte donc de satisfaire leur envie commune.  Plaisir partagé une nouvelle fois et remerciements. N/nous avons chaud avec Maître, Il souhaite me prendre, mais pas dans cette pièce, plutôt à l’étage. N/nous décidons donc de N/nous déplacer et en profitons pour aller chercher un verre un au bar.

Arrivés au bar, N/nous croisons monsieur du couple rencontré dans la boutique quelques jours plus tôt.  Il N/nous raconte nous avoir vu jouer et N/nous demande si N/nous passons une bonne soirée. N:nous acquiesçons en lui racontant les petits déboires un peu plus tôt. Il nous raconte également la soirée privée à laquelle ils se sont joints ce soir, nous expliquant que le jeu n’était pas de la partie et qu’ils ont fini par venir au Tantra pour jouer avant de rentrer. Sa dame est à l’étage et nous montons donc pour continuer N/notre discussion et me permettre de fumer une cigarette avant de retourner jouer dans l’espace couple. Monsieur souhaite se prendre une boisson également, N/nous indiquons aux vigiles se trouvant à l’entrée de l’espace couple que sa dame est un peu plus loin, en train de jouer avec d’autres hommes. Trois ou quatre, je ne sais plus.

Après avoir quelque peu discuté et une fois madame disponible, N/nous la saluons également et N/nous posons dans l’espace couple. Après une rapide discussion, madame retourne rapidement jouer et son homme me propose de jouer ensemble. Je regarde Maître et Lui pose la question. Il acquiesce. Nous démarrons donc en partageant un peu de plaisir masturbatoire et oral. Je me mets à quatre pattes sur le même matelas que sa dame, d’autres hommes nous entourent. Maître me demande si je suis prête à me faire prendre par un autre et je l’accepte. Un des hommes me prend tandis que trois autres sont face à moi à se masturber et me toucher. J’en touche certains parfois. Nous prenons tous du plaisir et vient enfin le tour de Maître. C’est la clôture de l’amusement dans Ses soupirs de plaisir qui prennent un temps qui me semble interminable à arriver. J’aime entendre que Maître prend du plaisir et quand le mien arrive à son apogée, j’en ai besoin pour garder mon excitation.

La soirée se termine tardivement et Maître me fait les comptes. 14 hommes ce soir au total. En réalité, je ne m’en suis même pas rendue compte malgré ma petite fierté intérieure a L’entendre prononcer ce nombre. La seule bête noire de la soirée est le fait que N/nous ayons toujours du mal à trouver une femme qui puisse N/nous plaire à tous deux pour que Maître s’amuse autrement qu’en me regardant. Cela viendra, je l’espère.

Merci Maître pour cette nouvelle soirée pleine de plaisir 🖤

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